Le bonheur est ce à quoi nous aspirons tous. Mais transformé en objet de consommation, il devient un dû ou même une obligation.
Quels sont les pièges de cette poursuite du bonheur ? La recherche scientifique nous montre que, paradoxalement, la recherche obsessionnelle du bonheur est justement ce qui nous empêche d’être heureux. Que l’évitement de nos inconforts ne mène pas à la félicité mais à plus d’anxiété.
Que les tentatives de contrôle de nos pensées peuvent avoir des effets secondaires indésirables. Et que la course à l’estime de soi nous rend plus fragile.
Une alternative à ces illusions serait de cultiver en soi un espace de liberté, qui passe par une réconciliation avec nos émotions même les plus difficiles, plus de détachement par rapport à nos pensées, de la douceur envers nous-mêmes et plus de tolérance envers nos limites humaines universelles.
Le bonheur est ce à quoi nous aspirons tous. Mais transformé en objet de consommation, il devient un dû ou même une obligation.
Quels sont les pièges de cette poursuite du bonheur ? La recherche scientifique nous montre que, paradoxalement, la recherche obsessionnelle du bonheur est justement ce qui nous empêche d’être heureux. Que l’évitement de nos inconforts ne mène pas à la félicité mais à plus d’anxiété.
Que les tentatives de contrôle de nos pensées peuvent avoir des effets secondaires indésirables. Et que la course à l’estime de soi nous rend plus fragile.
Une alternative à ces illusions serait de cultiver en soi un espace de liberté, qui passe par une réconciliation avec nos émotions même les plus difficiles, plus de détachement par rapport à nos pensées, de la douceur envers nous-mêmes et plus de tolérance envers nos limites humaines universelles.
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