La philosophie politique a connu dans les dernières années un tournant moral (par exemple chez Axel Honneth). Les « sentiments moraux » (honte, mépris, colère, respect, reconnaissance…) y ont pris (ou repris) la place de « l’intérêt » dans l’explication des conduites humaines et de la domination.
Parmi les « sentiments moraux », le « sentiment d’injustice » occupe une place centrale, comme source de nos conduites morales, de la remise en cause de l’ordre établi, et donc de l’action politique et sociale. Mais pourquoi devrions-nous faire confiance à ce point à des « sentiments » ? se demandera le philosophe.
La philosophie politique a connu dans les dernières années un tournant moral (par exemple chez Axel Honneth). Les « sentiments moraux » (honte, mépris, colère, respect, reconnaissance…) y ont pris (ou repris) la place de « l’intérêt » dans l’explication des conduites humaines et de la domination.
Parmi les « sentiments moraux », le « sentiment d’injustice » occupe une place centrale, comme source de nos conduites morales, de la remise en cause de l’ordre établi, et donc de l’action politique et sociale. Mais pourquoi devrions-nous faire confiance à ce point à des « sentiments » ? se demandera le philosophe.
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