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Le rôle du cerveau dans les limites humaines à l’effort extrême : de l’ultramarathon à l’expédition en montagne.
25 juin 2012Résumé : Les efforts de très longue durée, surtout lorsqu’ils sont pratiqués en altitude, induisent de nombreuses conséquences sur l’organisme parmi lesquelles la fatigue musculaire. Pourtant, s’il est indiscutable que les muscles souffrent après de longues heures passées à marcher/courir en montagne, l’impact sur le système nerveux central ne doit pas être oublié. Dans cet exposé, nous tenterons d’objectiver les conséquences délétères de ces efforts extrême sur le système nerveux central puis nous proposerons un modèle visant à expliquer comment le cerveau intègre l’ensemble des informations sensorielles (périphériques, environnementales, nutritionnelles, etc.) pour réguler les stratégies de course et in fine déterminer la performance.Résumé : Les efforts de très longue durée, surtout lorsqu’ils sont pratiqués en altitude, induisent de nombreuses conséquences sur l’organisme parmi lesquelles la fatigue musculaire. Pourtant, s’il est indiscutable que les muscles souffrent après de longues heures passées à marcher/courir en montagne, l’impact sur le système nerveux central ne doit pas être oublié. Dans cet exposé, nous tenterons d’objectiver les conséquences délétères de ces efforts extrême sur le système nerveux central puis nous proposerons un modèle visant à expliquer comment le cerveau intègre l’ensemble des informations sensorielles (périphériques, environnementales, nutritionnelles, etc.) pour réguler les stratégies de course et in fine déterminer la performance.
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