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Retrouver la croissance et l'emploi sont actuellement deux des leitmotivs des politiques et des médias, en France comme dans une bonne partie de l'Europe. Pourtant, concernant la croissance du PIB par habitant, tous les économistes sont-ils d'accord sur le taux nécessaire pour résorber le chômage actuel ? Pas si sûr, puisque certains anticipent une croissance très faible (1 à 1,5%) dans les décennies à venir, alors que l’école libérale brandit régulièrement le chiffre de 3% minimum pour une économie et une société équilibrées. De plus, existent maintenant des partisans de la croissance zéro, voire de la décroissance, arguant que notre monde occidental n'a pas cessé d'accroître sa richesse jusqu'alors, mais que cela ne pourra continuer indéfiniment du fait de la finitude des ressources physiques. Mais il ne suffit pas de discuter de la croissance de la richesse (c'est à dire essentiellement du PIB), il faut aussi voir comment cette richesse est utilisée de manière à résorber le chômage, puisque c'est bien ce dernier problème qui concerne la plupart des citoyens aujourd'hui. Intervenants : Jean-François Ponsot, maître de conférences en économie à l’Université François Desmoulins-Lebeault , enseignant-chercheur en économie financière François Schneider, chercheur "pratico-activiste" sur la décroissanceRetrouver la croissance et l'emploi sont actuellement deux des leitmotivs des politiques et des médias, en France comme dans une bonne partie de l'Europe. Pourtant, concernant la croissance du PIB par habitant, tous les économistes sont-ils d'accord sur le taux nécessaire pour résorber le chômage actuel ? Pas si sûr, puisque certains anticipent une croissance très faible (1 à 1,5%) dans les décennies à venir, alors que l’école libérale brandit régulièrement le chiffre de 3% minimum pour une économie et une société équilibrées. De plus, existent maintenant des partisans de la croissance zéro, voire de la décroissance, arguant que notre monde occidental n'a pas cessé d'accroître sa richesse jusqu'alors, mais que cela ne pourra continuer indéfiniment du fait de la finitude des ressources physiques. Mais il ne suffit pas de discuter de la croissance de la richesse (c'est à dire essentiellement du PIB), il faut aussi voir comment cette richesse est utilisée de manière à résorber le chômage, puisque c'est bien ce dernier problème qui concerne la plupart des citoyens aujourd'hui. Intervenants : Jean-François Ponsot, maître de conférences en économie à l’Université François Desmoulins-Lebeault , enseignant-chercheur en économie financière François Schneider, chercheur "pratico-activiste" sur la décroissance
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