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La Semaine du Cerveau 2017_Sous le charme de la dopamine : Le jeu pathologique dans la maladie de Parkinson
13 avril 2017Sébastien Carnicella, chercheur INSERM au Grenoble Institut des Neurosciences, Anna Castrioto, neurologue, Stéphan Chabardès, neurochirurgien, Valérie Fraix, neurologue, et Eugénie Lhommée, psychologue, au CHU Grenoble Alpes.
Le traitement dopaminergique des malades de Parkinson supplée le manque de dopamine qui n’est plus sécrétée par leur cerveau. Il rétablit la motricité tout en améliorant la motivation. Le patient parkinsonien retrouve alors, pendant un temps, une vie « normale » et recherche à nouveau raisonnablement du plaisir à travers l’art, par le travail, le jardinage, le bricolage, le sexe… et même parfois le jeu ! Dans certains cas, cette appétence au plaisir peut s’emballer, et ce qui était raisonnable devient aliénant, menant à de véritables addictions comportementales.
Ce phénomène est-t-il fréquent ? Quels en sont les mécanismes physiologiques ? Comment le jeu, qui, au départ, est une activité particulièrement humaine, de partage, d’apprentissage, de plaisir… peut-t-il détruire ? L’équipe clinique des troubles du mouvement, les neurochirurgiens et les chercheurs qui s’intéressent à la maladie de Parkinson essayeront de répondre avec vous, de façon ludique, à ces questions.Sébastien Carnicella, chercheur INSERM au Grenoble Institut des Neurosciences, Anna Castrioto, neurologue, Stéphan Chabardès, neurochirurgien, Valérie Fraix, neurologue, et Eugénie Lhommée, psychologue, au CHU Grenoble Alpes.
Le traitement dopaminergique des malades de Parkinson supplée le manque de dopamine qui n’est plus sécrétée par leur cerveau. Il rétablit la motricité tout en améliorant la motivation. Le patient parkinsonien retrouve alors, pendant un temps, une vie « normale » et recherche à nouveau raisonnablement du plaisir à travers l’art, par le travail, le jardinage, le bricolage, le sexe… et même parfois le jeu ! Dans certains cas, cette appétence au plaisir peut s’emballer, et ce qui était raisonnable devient aliénant, menant à de véritables addictions comportementales.
Ce phénomène est-t-il fréquent ? Quels en sont les mécanismes physiologiques ? Comment le jeu, qui, au départ, est une activité particulièrement humaine, de partage, d’apprentissage, de plaisir… peut-t-il détruire ? L’équipe clinique des troubles du mouvement, les neurochirurgiens et les chercheurs qui s’intéressent à la maladie de Parkinson essayeront de répondre avec vous, de façon ludique, à ces questions.
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